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omega3

Oméga 3 : définition

Les oméga 3 sont des lipides (graisses) lesquels se subdivisent en 2 catégories :

“Mauvaises graisses” : les acides gras saturés (graisse d’origine animale, charcuterie, fromage, pâtisserie…) et les graisses TRANS qui sont le résultat de la transformation des graisses végétales par l’industrie alimentaire.

Ces mauvaises graisses sont responsables de nombreuses maladies cardio vasculaire, de certains cancers, d’états dépressifs, de prise de poids…

“Bonnes graisses “ les acides gras mono et polyinsaturés dont certains sont dits “essentiels” car notre organisme ne peut pas les fabriquer (oméga 3 et oméga 6). Ils proviennent principalement de certaines huiles végétales et des poissons dit gras et de certains légumes verts.

Les graisses polyinsaturées agissent favorablement sur la croissance, les tissus nerveux, la beauté et l’élasticité de la peau, elles contrôlent le taux de mauvais cholestérol (LDL) et préviennent des maladies cardiovasculaires, elles assurent le bon fonctionnement cérébral.

Deux acides gras dits à longue chaine composent principalement les oméga 3 : ce sont l’acide Eicosapentaénoïque EPA et l’acide Docosahexaénoïque DHA.

Les recommandations de l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation recommande un apport DHA EPA de 500 mg/jour.

Rôle physiologique des actifs :

EPA et DHA pour le cerveau : ces acides gras à longues chaines régulent l’activité synaptique (les synapses mettent en relation les neurones du cerveau). Ils jouent un rôle très important, également dans la neurogénèse (formation des neurones) et la neuroprotection. Ils participent également à l’entrée du glucose dans le cerveau qui est sa principale ressource énergétique. Des chercheurs ont également démontré qu’un régime enrichi en DHA réduisait la survenue de troubles cognitifs (mémoire).

EPA et DHA pour le cerveau : de nombreuses données chez l’homme associent une diminution des taux sanguins et cérébraux des AGPI (Acides Gras Polyinsaturés) oméga 3 à la dépression, la schizophrénie ou la maladie d’Alzheimer.

Les scientifiques ont également démontré qu’une carence en AGPI oméga 3, conduit à un état de stress chronique et au développement de comportement de type anxieux via la modulation de la morphologie du cortex préfrontal.

EPA et DHA pour le cœur : les lipoprotéines (de grosses molécules associant lipides et protéines) LDL conduisent le cholestérol fabriqué par le foie aux organes qui en ont besoin. Lorsque la concentration de cholestérol devient trop importante, les cellules des différents tissus ne le captent plus et il se dépose sur les parois des artères. Petit à petit, de véritables plaques de graisses, appelées athéromes, se forment. On parle, dans ce cas, de “mauvais cholestérol”.

Les lipoprotéines HDL sont capables de capter le cholestérol excédentaire pour le ramener au foie où il est éliminé.

Elles ont la faculté de diminuer le risque de voir apparaître des plaques d’athérome.

Les Oméga 3 agissent en diminuant la synthèse hépatique de LDL et en augmentant celle de HDL avec, pour résultat, une meilleure épuration du cholestérol excédentaire. Ils permettent également de diminuer de façon importante les triglycérides circulants.

Des carences en Omega 3 importantes :

L’Agence Française de Sécurité Sanitaire et Alimentaire recommande un apport DHA EPA de 500 mg/jour. Selon l’étude INCA3, en France, l’alimentation moderne n’apporte que 169 mg/jour de DHA et 117 mg/jour de EPA soit 286 mg en moyenne c’est-à-dire un manque quotidien de 214 mg !!!

Il est très important de combler ce déficit.

De plus, l’agence conseille également un rapport de 5 “oméga 6” pour 1 “oméga 3”.

Aujourd’hui, la tendance est d’en ingérer 15 fois plus ce qui est énorme et préjudiciable à une bonne santé.

Il est salutaire de rétablir le bon équilibre en consommant davantage d’oméga 3.

Les études sur l’Oméga 3 :

Plus de 850 études scientifiques ont été publiées sur les bienfaits des oméga 3.

Moral et déprime

Une étude publiée en décembre 2017, menée par des chercheurs italiens montre l’efficacité et le rôle important joué par les oméga pour améliorer les états dépressifs.

Fonctions cognitives

Une étude publiée en Novembre 2017 démontre qu’une supplémentation pendant 24 mois (2g/jour) peut améliorer les fonctions cognitives (mémoire et apprentissage).

Risque cardio

Une étude publiée en novembre 2017 a démontré les effets bénéfiques des oméga 3 (12 semaines) sur le métabolisme de l’insuline, le taux de cholestérol et de triglycérides.

Femmes et risque cardio

La “Nurses Health Study”, une vaste étude qui a suivi pendant seize ans 84688 femmes âgées de 34 à 59 ans démontre que le risque de maladie cardiovasculaire diminue avec la consommation de poisson (et/ou d’oméga 3 en supplémentation). Les femmes ayant mangé du poisson au moins cinq fois par semaine pendant seize ans avaient 45% moins de risque de souffrir de maladie cardiovasculaire. Le risque diminuait de 20% pour celles qui consommaient du poisson une à trois fois par semaine.

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